Sécheresse vaginale : comment ne plus en avoir ?

La sécheresse vaginale est une situation qui touche beaucoup de femmes. Elle peut se déclarer à tous les âges mais elle est plus fréquente chez les femmes ménopausées, les femmes enceintes et les jeunes mères. La sécheresse vaginale est tout simplement un défaut d’humidification du vagin. Lorsqu’une femme en souffre, elle a le vagin sec, ce dernier n’étant plus lubrifié naturellement. Cela entraine une baisse de l’excitation sexuelle et des rapports sexuels douloureux. Ce phénomène peut devenir très gênant pour le couple. Dans cet article, nous vous donnons des solutions pour prévenir et traiter la sècheresse vaginale.

Causes et symptômes de la sécheresse vaginale

En connaissant les causes de la sécheresse intime, vous pourrez déjà avoir une idée de ce qu’il faut faire pour la prévenir. Ce qu’il vous faut savoir, c’est que l’humidification de votre vagin est assurée grâce aux œstrogènes. De ce fait, un manque d’œstrogènes entrainera forcément un défaut de lubrification de votre vagin. À un moment donné, le manque d’œstrogènes ne peut pas être évité chez les femmes à la ménopause. C’est bien pour cela qu’elles sont les plus touchées par la sécheresse vaginale.

Par ailleurs, vous pouvez souffrir d’un vagin sec suite à la prise de certains médicaments. En fait, cette situation peut être l’effet secondaire de médicaments comme les antidépresseurs et les antihistaminiques. De même, le stress, les infections vaginales et une mauvaise hygiène ou une hygiène inadaptée du vagin peuvent être la cause d’une sécheresse intime

Vous pourrez déduire que vous souffrez de sécheresse vaginale si vous sentez :

  • des douleurs pendant vos rapports sexuels
  • des démangeaisons
  • une impression de brûlure
  • des sensations d’irritation au niveau de votre partie intime.

Heureusement, des solutions existent pour prévenir et traiter la sécheresse vaginale.

Prévention et traitement de la sécheresse vaginale

Il vaut mieux prévenir que guérir ! Cette assertion n’a jamais eu autant de sens que dans ce cas de figure. Afin de ne pas souffrir de sécheresse vaginale, nous vous conseillons d’abord d’éviter de fumer. En effet, les substances contenues dans le tabac contribuent au manque d’œstrogènes. Evitez de porter des vêtements trop collés à votre corps afin d’aérer votre vagin. Vous pensez certes à votre hygiène intime mais les toilettes vaginales trop fréquentes peuvent détruire la flore vaginale. De même, évitez d’utiliser les produits parfumés au niveau de votre vagin.

Si vous souffrez déjà de sécheresse vaginale, ne vous en faites pas. Rendez-vous chez votre gynécologue et parlez-en avec lui. Il vous prescrira des produits pouvant éviter son aggravation. Il s’agit généralement d’un lubrifiant en ovules et en gel. Cela permettra d’humidifier de nouveau votre vagin. En outre, pendant les rapports sexuels, vous pouvez utiliser un lubrifiant vaginal. Cela facilitera la pénétration. C’est important aussi bien pour votre partenaire que pour vous-même. Toujours dans le même ordre d’idées, un vieux remède de grand-mère consiste à mettre dans votre vagin une boule fraiche de beurre de karité avant les rapports sexuels. Pour les femmes à la ménopause, le médecin vous prescrira une cure à base d’hormones. Cela augmentera le nombre de vos œstrogènes.

 

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Déni de grossesse : quelles sont les causes et les symptômes ?

Vous en avez sûrement déjà entendu parler de déni de grossesse. Qu’est-ce que le déni de grossesse ? Quelles en sont ses causes et symptômes ? Ce sont là des questions que vous vous êtes peut-être posées à propos. Nous vous répondons dans cet article.

Notion de déni de grossesse

Le déni de grossesse désigne l’attitude d’une femme qui ne se sait pas enceinte. Le déni est un phénomène inconscient de défense, une protection mise en place contre quelque chose de très douloureux. Contrairement à ce qu’on pourrait croire, la femme ne simule pas. Parfois qualifié de déni total, le déni de grossesse doit être différencié de la dénégation de grossesse, ou déni partiel, qui comporte une part de conscience, oscillatoire ou non, du fait d’être enceinte. Selon les spécialistes, le déni de grossesse ne peut être considéré comme une pathologie médicale, mais plutôt comme un trouble de nature psychologique. Contrairement aux idées reçues, il n’y a pas que les adolescentes qui sont concernées.

Causes

Derrière chaque déni de grossesse il y a une histoire personnelle, intime, courant parfois sur plusieurs générations. Les spécialistes évoquent différents éléments dans la genèse de la psychopathologie du déni de grossesse : l’ambivalence du désir d’enfant, des conflits intrapsychiques non résolus, le rapport au corps, le rapport à la sexualité, la pauvreté de la communication des émotions, les problématiques trans-générationnelles des éventuels traumatismes passés ou actuels, un trouble de l’adaptation…

Plusieurs facteurs peuvent conduire à un déni de grossesse :

  • une stérilité supposée (la femme se pense stérile et imagine ne jamais tomber enceinte)
  • des grossesses très rapprochées
  • le contexte familial, notamment pour les adolescentes
  • l’enfant d’une liaison extraconjugale
  • un bébé non désiré
  • le souhait d’une grossesse non médicalisée
  • une grossesse résultant d’une agression sexuelle…

Dans tous ces cas, c’est le cerveau de la femme qui est à l’origine du déni et l’inconscient a alors le pouvoir de commander le corps.

Symptômes

Le déni de grossesse se caractérise par une quasi-absence des signes habituels de grossesse (nausées, douleurs mammaires, prise de poids). La femme, pourtant effectivement enceinte, continue à avoir normalement ses règles, elle ne prend ni poids ni du ventre, pas de masque de la femme enceinte, à tel point que son entourage ne s’aperçoit de rien. Parfois, les symptômes du déni de grossesse se confondent facilement avec des problèmes quotidiens comme des saignements confondus avec des règles. Ils peuvent être confondus aussi avec des maux de ventre que l’on relie directement au système digestif.

Le corps n’est pas en plein déni puisqu’il change mais il ne le montre pas. En effet, lors d’une grossesse, l’utérus bascule vers l’avant alors que dans le cas d’un déni, ce dernier va se mettre à la verticale. Mais alors où se cache le fœtus qui se développe ? Et bien il se situe sous les côtes de la future maman. C’est pour cette raison que le ventre ne grossit pas, il peut être légèrement bombé mais rien de bien alarmant. Pour ce qui concerne les mouvements du bébé, eux aussi peuvent être confondus avec des ballonnements. La faible prise de poids peut justifier certains écarts, si minimes soient-ils.

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Déclenchement accouchement : comment accélérer le processus naturellement ?

« Comment se passe un accouchement ? » Toutes les femmes ont déjà posé cette question à des femmes qui ont accouché une fois ou à elles-mêmes. Eh bien, en bref, l’accouchement comporte plusieurs étapes : le travail, la dilatation, la respiration et l’expulsion. Les étapes les plus difficiles sont la préparation et le travail qui pourraient nécessiter un déclenchement d’accouchement. Rassurez-vous, un accouchement déclenché dans les bonnes conditions n’a aucun risque. Dans quels cas accélérer l’accouchement et comment déclencher de façon naturelle le travail ? Si vous vous êtes déjà posé des questions du genre, alors cet article est le vôtre.

Signes annonciateurs du travail chez la femme enceinte

Ce sont des signes qui annoncent la venue du bébé. Ceux remarqués sont souvent une pression réduite de l’utérus sur le diaphragme. Il y a également l’intensification des contractions. L’intervalle des contractions est souvent réduit et est pour la plupart compris entre 5 et 10 minutes. Le signe le plus rassurant est l’ouverture ou la dilatation du col de l’utérus et la perte des eaux. Quand ses signes apparaissent, c’est que l’accouchement est tout proche.

Dans quels cas déclencher l’accouchement ?

Le déclenchement de l’accouchement intervient dans les cas suivants :

  • mauvaise préparation : qui pourrait être à l’origine du retard de l’apparition des premiers signes du travail 
  • pas de travail pas d’accouchement.
  • grossesse prolongée : cela signifie que la grossesse a dépassé son terme et tend vers 42 semaines
  • rupture de la poche des eaux sans les vraies contractions : la membrane protégeant le fœtus se rompt entraînant la perte du liquide amniotique et augmentant le risque d’infection du fœtus.

Comment provoquer un accouchement ?

Lorsque tout se déroule normalement pendant votre grossesse, attendez-vous aux contractions, signes du travail dès la 40ème semaine. Dans le cas contraire, un accouchement provoqué est nécessaire. Les méthodes naturelles recommandées sont :

  • faire des exercices physiques : ne pas rester coucher ou assise toute la journée, il faut  bouger, effectuer des mouvements simples et non pénibles
  • faire l’amour avec son partenaire : le sperme de l’homme contient de la prostaglandine, hormone capable de provoquer des contractions ; veillez donc à ce que l’homme éjacule dans votre vagin
  • stimuler les mamelons : soit par le massage de vos seins ou à l’aide d’un tire-lait ; cette stimulation a pour conséquence de provoquer la synthèse de l’ocytocine à travers votre sang, ce qui va déclencher les contractions qui précèderont le travail
  • se relaxer en se libérant de ses peurs : lorsque vous êtes relaxe et calme, vous empêchez le stress de prendre le dessus et donc de bloquer les contractions
  • boire de l’eau ou une infusion de feuilles de framboisier : la boisson vous évite la déshydratation et le stress ; ce qui devrait accélérer les contractions ; prendre également des bains pour mieux se sentir dans sa peau
  • consommer de préférence de l’ananas ou de l’ail : la bromélaïne contenue dans l’ananas lutte contre la constipation et permet d’aller à la selle. L’ail aussi facilite la digestion et augmentera vos envies d’aller à la selle. Cela qui favorisera la descente vers le bas-ventre du bébé, qui exercera une pression sur le col.

Voilà un peu comment déclencher l’accouchement par des méthodes naturelles. En outre, vous pourriez également pratiquer l’acuponcture sous la recommandation de votre médecin ou sage-femme.

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Crème dépilatoire : comment bien la choisir ?

Voulez-vous résoudre le problème des poils sans en créer d’autre ? Mes belles dames, prenez le soin de faire le choix de la crème dépilatoire idéale. Ainsi, vous allez pouvoir vous faire sexys en portant les décolletés et les munies jupes sans craindre les regards inquisiteurs.

À la découverte de la crème dépilatoire

La crème dépilatoire est un produit cosmétique de nature chimique permettant une épilation par désintégration des poils sur lesquels elle est appliquée. Elle est réalisée avec des actifs alcalins comme l’acide thio glycolique. Ces actifs ont le pouvoir de détruire entièrement les poils, en désintégrant la kératine que ceux-ci contiennent. Il ne s’agit donc ni de couper le poil comme avec un rasoir, ni de l’arracher comme avec de la cire, ni avec un épilateur électrique ou une pince à épiler. La crème dépilatoire est très pratique pour vous qui n’avez pas beaucoup de temps.

Elle est indolore et permet de s’épiler rapidement juste avant de prendre une douche. Rassurez-vous, mes belles, il est rare d’avoir des poils oubliés sur les jambes, comme cela peut être le cas avec la cire. La repousse des poils est un peu moins rapide qu’avec un rasoir. Vous pouvez jouir jusqu’à une semaine de douceur avant de recommencer. Sûrement, vous vous posez la question sur les inconvénients. Soyez sans craintes mes dames. Les fabricants ont fait de gros efforts de ce côté-là.

Suivant la marque, le parfum peut varier et être plus ou moins agréable pour éviter les odeurs désagréables, voire ultra-chimiques que la crème peut parfois dégager. Pour rendre votre crème efficace avant l’usage, vous pouvez faire un gommage qu’il s’agisse des poils du visage, du maillot ou ceux du sexe. Cela rendra plus facile l’épilation des poils légèrement incarnés. En termes de rapidité et de simplicité d’utilisation, la crème dépilatoire remporte tous les suffrages.

Comment profiter de ma crème dépilatoire ?

Plusieurs critères entrent en jeu quand il s’agit de choisir la crème dépilatoire idéale. Vous devez prendre en compte la sensibilité de votre peau, les effets secondaires, les différentes sortes de crème sur le marché, la qualité de la crème et la taille de votre portefeuille. Même si vous n’avez pas une lourde bourse, vous pouvez toutefois trouver une crème dépilatoire de bonne qualité.

Chaque peau est unique et la sensibilité du corps varie d’un endroit à un autre. Il est très important de faire attention dans son choix surtout que les crèmes dépilatoires sont très actives et ne conviennent pas à tous les types de peau. Elles peuvent être à l’origine d’allergies, de bouton, des démangeaisons…C’est pour cela qu’il est nécessaire de se renseigner sur les composantes de la crème avant de la prendre. Aussi, pour éviter d’irriter votre peau, il faut la tester sur une petite surface de votre corps pour être sûre que vous n’êtes pas allergique ou que votre peau n’y est pas sensible.

Il existe diverses crèmes dépilatoires telles que Veet ou Minute Spray. Il vous revient de faire votre choix en prenant en considération les avantages et les inconvénients de chaque type. La qualité de la crème dépend de ses composantes et du résultat final après épilation. Après son usage, elle doit être en mesure d’éliminer les poils en quelques minutes et laisser la peau toute douce et lisse pendant un certain nombre de jours sans que vous ne subissiez des effets secondaires.

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